Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Convergences Kung-Fu Wushu
Articles récents

Publié depuis Overblog

16 Novembre 2015 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #ConvergenceS infoS

Lire la suite

Stage 2010 Shou-Bo Shuai-jiao à Nanterre

27 Octobre 2015 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #stage

le premier stage de Shuai-Jiao organisé par convergenceskfw

Lire la suite

Shuai jiao stage avec Maître Yuan Zumou

15 Octobre 2015 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #stage

Le shuai jiao (chinois : 摔跤 ; pinyin : shuāijiāo parfois écrit chinois : 摔角 ; pinyin : shuāijiǎo) est un art martial chinois de lutte à main nue au corps-à-corps. Sa pratique codifiée est très ancienne. Les règles modernes ont été définies au début du XXe siècle.

Histoire

Le terme le plus ancien désignant la lutte, Jiaodi (角抵, jǐaodǐ, « résister aux cornes », renvoie à un ancien sport où les adversaires portaient un casque à cornes, utilisé pour essayer de frapper l'adversaire. La légende raconte que l'armée de l'Empereur Jaune utilisa le Jiaodi, en 2697 avant l'ère commune, pour repousser les soldats d'une armée rebelle commandée par Chi You. Plus tard, les jeunes gens auraient pratiqué un jeu semblable, mais sans casque, en imitant les affrontements entre animaux domestiques. Le Jiaodi est considéré comme la source originelle de la lutte et des autres formes d'arts martiaux apparues plus tard en Chine.

Le Jiaoli (角力, jǐaolì, « la force des cornes ») était un art martial du corps-à-corps apparu à l'époque de la dynastie Zhou (entre le douzième et le troisième siècle avant l'ère commune). Il faisait partie de l'entraînement militaire sous les ordres du roi. On considère généralement que le Jiaoli est l'art martial codifié le plus ancien en Chine, et un des plus anciens au monde des arts de combat réglé. Le Jiaoli complétait les techniques de projection par des frappes, prises, verrouillages des articulations, et attaques des points de compression des nerfs. Ces exercices étaient pratiqués par les soldats en hiver, en même temps que le tir à l'arc et l'étude de la tactique militaire. La pratique du Jiaoli pendant la dynastie Zhou est notée dans le Livre des rites.

Le Jiaoli devint un sport public pendant la dynastie Qin (221-207 avant l'ère commune), avec des compétitions organisées aussi bien pour le divertissement de la Cour impériale que pour le recrutement des meilleurs combattants. Les compétiteurs s'affrontaient sur une plateforme élevée appelée leitai (擂台, lèitái, « plateforme de combat »), avec pour récompense un possible recrutement comme membre de la garde de l'empereur ou instructeur d'arts martiaux de l'armée impériale. Les compétitions pouvaient durer une semaine ou plus, et réunir plus d'un millier de participants. Le jiaoli fut enseigné aux militaires en Chine pendant des siècles, et sa popularité dans l'armée mandchoue assura son influence sur les arts martiaux plus récents jusqu'à la fin de la dynastie Qing.

Le terme « Shuai jiao » fut choisi par l'Institut central des arts nationaux (中央國術館, zhōngyāng guóshù guǎn) de Nanjing en 1928 quand les règles de la compétition furent codifiées. Aujourd'hui le shuai jiao est populaire chez les Mongols, qui l'appellent « böhk » et organisent régulièrement des compétitions au moment des fêtes traditionnelles. Il continue d'être enseigné dans les académies militaires et les écoles de police en Chine continentale et à Taïwan. Il est reconnu comme sport éducatif pour les jeunes.

Transcription et traduction

Le caractère 摔 shuāi signifie « Tomber au sol » ou « Projeter au sol ». La syllabe 'jiao' correspond à deux caractères : le premier et le plus ancien 角 jiǎo signifie « Corne » et le plus récent 跤 jiāo signifie « Trébucher » ou « Faire tomber par le jeu des jambes ».

En Occident, on écrit 'shuai jiao' conforme à la transcription pinyin ou 'shuai chiao' suivant la transcription Wade-Giles, parfois 'Swaijiao'. L'une ou l'autre des deux formes 摔跤 et 摔角 apparaissent sur les inscriptions et les emblèmes. En Chine continentale, la dénomination officielle est 中国式摔跤 zhōngguó shì shuāijiāo, que l'on peut traduire par « Lutte de style chinois », 摔跤 shuāijiāo renvoyant à la lutte en général.                

  Traduction de l'article Shuaijiao dans Wikipedia en anglais.

stage avec Maître yuan Zumou

stage avec Maître yuan Zumou

Lire la suite

Stage avec Maître Yuan Zumou

11 Octobre 2015 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #stage

stages shuai-jiao Shou-bo avec Maître yuan Zumou

stages shuai-jiao Shou-bo avec Maître yuan Zumou

Lire la suite

Tai chi feu et eau

30 Septembre 2015 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #ConvergenceS infoS

yin yang feu et eau

yin yang feu et eau

Lire la suite

Tai chi Shuai-jiao Shoubo à Nanterre

22 Septembre 2015 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #ConvergenceS infoS

Tai chi shuai-jiao shoubo ConvergenceS KFW

Lire la suite

Fête de la vie associative à Nanterre

20 Septembre 2015 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #ConvergenceS infoS

Affiche fête de la vie associative de Nanterre 2015

Affiche fête de la vie associative de Nanterre 2015

Lire la suite

TaichiMag 5

14 Septembre 2015 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #ConvergenceS infoS

TaichiMag5

TaichiMag5

Lire la suite

Quelques conseils pour débuter les arts martiaux suite

1 Septembre 2015 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #Gros plan

Premiers pas dans les arts martiaux :

étirements des jambes

étirements des jambes

Nous devons donc la vérité aux débutants ou plutôt les 7 vérités suivantes :

 

1 – Quelle que soit la discipline choisie, l’apprentissage sera long et difficile. Rien ne s’obtient sans travail, sans effort et sans patience. Ce qui est vrai pour le sprinteur, le tennisman, le lutteur, le musicien, le chanteur ou le pâtissier, est également vrai pour le pratiquant de Kung Fu. Il faut donc être sûre de sa motivation, car celle-ci sera soumise à rude épreuve !

2 – Vous devez choisir une discipline qui vous plait car il est plus facile de fournir des efforts et de consacrer du temps à quelque chose que l’on aime et qui vous éclate. Il ne faut donc pas hésiter à bien se renseigner et aller voir des écoles différentes avant d’en choisir une, car le meilleur moyen de choisir, c’est encore de tester ! Posez vous ensuite les bonnes questions : Avez vous envie de revenir régulièrement ? Les horaires sont-ils compatibles avec votre planning ? N’oubliez pas que la notion de plaisir est souvent essentielle pour conserver sa motivation jusqu’au bout !

3 – On dit souvent dans l’étude des arts martiaux que « de tous les pas, le plus important de tous est le premier », et ce « premier pas » consiste à bien choisir son professeur car c’est précisément lui qui va vous communiquer sa passion, ses connaissances de la discipline et surtout vous faire progresser. N’oubliez pas que vous envisagez d’y consacrer quelques années de votre vie ! Mieux vaut donc avoir un professeur qui vous convienne. Il n’y a pas de bonnes ou mauvaises disciplines. Toutes les disciplines martiales sont passionnantes et efficaces. Il y a simplement de bons ou mauvais professeurs. De même, ce ne sont pas les élèves qui sont généralement mauvais, mais leurs professeurs. Le professeur qui ne s’intéresse qu’à certains élèves et qui laisse les autres sur le bord de la route est à proscrire. On peut être un grand combattant/champion et être un très mauvais professeur (l’inverse est aussi vrai). Au delà de la connaissance de sa discipline, le bon professeur est celui qui s’intéressera à tous et qui fera progresser tout le monde sans exception ! Il devra avec chacun faire preuve de patience et s’adapter à la progression de chaque élève.

4 – Essayez de bien définir ce que vous êtes venu chercher en pratiquant le Kung Fu. Pour cela vous devez vous poser certaines questions, même si les réponses ne sont pas toujours évidentes ou qu’elles évoluent avec le temps : Venez vous pour apprendre à vous défendre ? Pour faire du sport ? Vous défouler et transpirer ? Pour être bien dans votre peau, vous maintenir en forme, améliorer votre santé et votre état physique ? Pour apprendre à mieux vous connaître ? Pour acquérir une compétence précise pour votre métier ? Pour avoir une activité près de chez vous ? Pour rencontrer des gens d’un autre milieu que le votre ? Pour découvrir une autre façon de penser et de vivre ? Découvrir une culture ?… Il y a de bien nombreuses raisons de pratiquer un art martial et y répondre vous aidera à trouver petit à petit votre voie, à vous épanouir et à progresser.

5 – Fixez vous de petits objectifs, quitte à les revoir régulièrement en fonction de votre progression et du temps que vous consacrerez à votre pratique du Kung Fu. Ne recherchez pas la performance à tout prix. Acceptez de faire de petits pas, car vouloir aller trop vite est le meilleur moyen d’être déçu et de perdre sa motivation. Encore une fois, ne craignez pas d’avancer lentement, tant que vous avancez, vous êtes sur la bonne voie ! N’hésitez pas à en parler avec votre professeur, car « celui qui aime demander conseil grandira ».

6 – N’hésitez pas à poser des questions à votre professeur qui est là pour vous écouter et vous aider. Le Maître dit à ce sujet : « celui qui pose une question est bête 5 minutes, celui qui n’en pose pas l’est toute sa vie ».

7 – Entrainez vous sérieusement et régulièrement. Sérieusement signifie d’être attentif à chaque détail et d’essayer de reproduire ce que montre le professeur dans ses moindres détails. Régulièrement signifie au moins 2 fois par semaine. Si vous ne pouvez pas venir autant, vous devez pratiquer chez vous : n’hésitez pas à faire régulièrement les formes que vous connaissez, travaillez vos déplacements et vos techniques seul, améliorez votre condition physique (cardio, renforcement musculaire, assouplissement…), tout ce que vous pourrez faire (15′ par ci, 30′ par là) vous aidera dans votre progression.

Voilà, en respectant ce mode d’emploi, vous mettez toutes vos chances de votre côté pour ne pas être déçu, ni abandonner au bout de quelques mois et vous découvrir des qualités insoupçonnées. Vos efforts seront récompensés et votre plaisir rapidement décuplé.

Lire la suite

Quelques conseils pour débuter les arts martiaux

31 Août 2015 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #Gros plan

Tai chi chuan (Tai ji quan),Shoubo shuai-jiao,self défense, …

 

Débutant, mode d’emploi :

Il est toujours difficile de commencer un apprentissage dans un domaine nouveau, et il n’est pas rare dans les cours de voir un débutant se crisper, s’énerver de ne pas y arriver, se remettre en question, douter de tout et de lui même… bref, d’avoir brusquement envie de tout arrêter après un cours ou de penser que le kung-fu n’est pas fait pour lui. Lorsqu’il débute, l’élève est effectivement confronté à quantité d’information, de concepts nouveaux et de techniques pas toujours naturelles pour qui découvre les arts martiaux chinois.

Il vous faudra pourtant traverser cette première phase ingrate de l’initiation, plus ou moins longue (3 à 6 mois selon le nombre d’entraînement), où l’on se sent « gauche », parfois « bête », voire « nul » de ne pas arriver à faire ce que montre le professeur, où l’on est confronté à la maladresse de son corps, sans parler de la tête où tout s’embrouille et où les connections synaptiques ne semblent plus s’établir…

Tout le monde est passé par ce stade de doute permanent, y compris vos professeurs à leurs débuts. Ne croyez pas à l’élève surdoué qui arrive à tout bien faire du premier coup. Certes, nous ne sommes pas tous égaux et tout le monde n’est pas Usain Bolt, Roger Federer ou Teddy Riner. Certes, nous n’avançons pas tous à la même vitesse, et nous n’irons pas tous aussi loin les uns que les autres. Mais nous sommes tous confrontés aux mêmes difficultés, et le temps est un des paramètres essentiels pour surmonter ces difficultés. Dites vous que travail et patience sont toujours récompensés. C’est pourquoi le Maître dit à l’élève : « ne crains pas d’avancer lentement, crains seulement de t’arrêter ».

Si vous voyez votre voisin qui a débuté en même temps que vous mieux réussir et progresser plus vite que vous, dites vous qu’il a certainement dû pratiquer auparavant d’autres disciplines martiales ou qu’il est un grand sportif, ou qu’il s’entraîne deux fois plus souvent que vous. Mais il y a certainement une explication qui repose sur de bonnes raisons objectives. Si vous trouvez que vous galérez, soyez patient, revoyez peut être vos ambitions et vos objectifs à la baisse, mais il n’y a aucune raison que vous ne progressiez pas et que vous ne parveniez pas à un résultat probant si vous vous entraînez sérieusement et régulièrement, deux conditions essentielles au succès dans le Wushu.

C’est justement au cours de cette première phase d’initiation (3 à 6 mois) que les écoles connaissent le plus grand nombre d’abandon, parce que les élèves n’acceptent pas les efforts à fournir, et n’ont pas la patience qu’il faut avoir pour parvenir à un résultat aussi modeste soit-il. Le Maître dit pourtant : « A qui sait attendre, le temps ouvre ses portes ».

jeux de la baguette

jeux de la baguette

Lire la suite
<< < 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 > >>