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Convergences Kung-Fu Wushu
Articles récents

C’est la reprise pour ConvergenceS KFW

15 Août 2018 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #ConvergenceS infoS

Reprise des Cours de Tai ji Quan Dimanche 19 août 11H 12H et le lundi 20 août de 19h 20h cours en extérieur.
8 potenciels

8 potenciels

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STAGE D'ETE - Théorie et Pratique du Taï Ji Quan - Dimanche 1er juillet 2018 - Nanterre

25 Juin 2018 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #stage

STAGE ; Théorie et Pratique du Taï Ji Quan

STAGE ; Théorie et Pratique du Taï Ji Quan

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les dix principes essentiels Yang Tai Ji Quan

8 Mai 2018 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #Tai chi chuan,Tai ji quan

Transmission orale de Yang Cheng Fu relatée par Chen Wei Ming

Yang Chen Fu et sont disciple Chen Wei Ming

Yang Chen Fu et sont disciple Chen Wei Ming

1- Etre léger et agile et maintenir l’énergie au sinciput.

2- Rentrer légèrement la poitrine et étirer le dos.

3- Relâcher la taille

4- Distinguer le “ plein ” et le “ vide ”

5- Baisser les épaules et laisser tomber les coudes

6- Employer la pensée créatrice et non la force musculaire

7- Relier le haut et le bas

8- Unir l’intérieur et l’extérieur

9- Lier les mouvements sans interruption

10- Rechercher le calme au sein du mouvement

1- Etre léger et agile et maintenir l’énergie au sinciput.

Maintenir l’énergie au sinciput, c’est tenir la tête bien droite, de sorte que l’énergie spirituelle soit reliée au sinciput. N’employer pas la force musculaire, qui raidirait le cou et gênerait la circulation du sang et du souffle. Que votre esprit soit spontané et agile, car sans l’agilité et le maintien de l’énergie au sinciput, la force vitale ne peut être mise en branle.

2- Rentrer légèrement la poitrine et étirer le dos

Rentrer la poitrine consiste à la retenir légèrement vers l’intérieur, pour que le souffle descende se concentrer dans le champ de cinabre. Abstenez-vous de bomber le torse, sinon le souffle étant comprimé au niveau de la poitrine, la partie supérieure du corps sera lourde, la partie inférieure légère, et les pieds auront tendance à flotter. Étirer le dos consiste à faire adhérer le souffle au dos. La rentrée de la poitrine entraîne naturellement un étirement du dos, ce qui permet d’émettre la force à partir de l’axe spinal et d’être alors sans rival.

3- Relâcher la taille

La taille est le maître de tout le corps. Les pieds n’ont de la force et le bassin de l’assise que si l’on est capable de relâcher la taille. Les passages du “ plein ” au “ vide ” s’effectuent à partir de mouvements tournants de la taille. C’est pourquoi l’on dit : “ La source du commandement est à la taille ”. Le manque de force provient de la taille et des jambes.

4- Distinguer le “ plein ” et le “ vide ”

Dans l’art du Tai Chi Chuan, le premier principe est de distinguer le “ plein ” et le “ vide ”. Si tout le corps est appuyé sur la jambe droite, on dit que la jambe droite est “ pleine ”, la jambe gauche “ vide ” et vice versa. Les mouvements tournants ne sont effectués avec légèreté, agilité et sans le moindre effort que si l’on sait distinguer le “ plein ” et le “ vide ” ; sinon, les déplacements sont lourds et gauches, le corps manque de stabilité et l’on est aisément déséquilibré par l’adversaire qui vous attire.

5- Baisser les épaules et laisser tomber les coudes

Baisser les épaules consiste à les relâcher et les laisser tomber ; si l’on ne peut les relâcher et les laisser tomber, elles sont haussées, ce qui entraîne une remontée du souffle et par conséquent un manque de force dans tout le corps.

Laisser tomber les coudes le long du corps consiste à les relâcher. S’ils sont levés, les épaules ne peuvent être abaissées, et l’on ne peut repousser très loin l’adversaire. La technique utilisée se rapproche alors de celle de l’école exotérique employant une force intérieure (jing) discontinue.

6- Employer la pensée créatrice et non la force musculaire

Il est dit dans le Traité sur le Tai Chi Chuan : “ Tout réside dans l’emploi de la pensée au lieu de la force ”. Pendant la pratique du Tai Chi Chuan, tout le corps est détendu, de sorte que pas la moindre énergie grossière ne subsiste et ne stagne entre les os, les muscles ou les veines, vous ligotant ainsi vous-même. C’est alors seulement que l’on peut effectuer les passages d’un mouvement à l’autre avec légèreté et facilité, et exécuter les mouvements tournants avec naturel. Certains doutent qu’il soit possible d’avoir une force durable sans l’emploi de la force musculaire, mais le corps humain possède des canaux de circulation du souffle, de même que la terre a ses rigoles. Si les rigoles ne sont pas obstruées, l’eau coule ; si les veines ne sont pas bouchées, le souffle circule. Lorsqu’une énergie raide emplit ces canaux, le sang et le souffle sont gênés, les mouvements tournants manquent d’agilité et il suffit de tirer un cheveu pour que tout le corps suive. Si au lieu de la force musculaire on emploie la pensée créatrice, là où la pensée parvient, le souffle parvient. De la sorte, le sang et le souffle circulent continuellement dans le corps sans s’arrêter un seul instant. Grâce à un long entraînement, l’on acquiert la véritable énergie intérieure, et comme il est dit dans le Traité sur le Tai Chi Chuan : “ La souplesse et la flexibilité extrêmes produisent la résistance et la rigidité extrêmes ”. Ceux qui sont familiarisés avec la technique du Tai Chi Chuan et la maîtrisent, ont les bras semblables à du fer entouré de coton, la force y est enfouie profondément, tandis que les disciples de l’école exotérique manifestent la force musculaire dans l’action et semblent flotter dans l’inaction. Cela prouve que leur force musculaire n’est qu’une énergie superficielle.

Quand on emploie la force musculaire à la place de la pensée créatrice, l’adversaire peut très facilement vous inciter à vous mouvoir, cela ne mérite pas notre estime.

7- Relier le haut et le bas

Relier le haut et le bas, c’est se conformer à ce principe énoncé dans le Traité sur le Tai Chi Chuan : “ L’énergie prend racine dans les pieds, se développe dans les jambes, est commandée par la taille et se manifeste dans les doigts. Des pieds, aux jambes, à la taille, il faut une unité parfaite ”. Tout mouvement des mains va avec un mouvement de la taille ; quand les pieds se meuvent, l’énergie spirituelle des yeux (le regard) se meut en même temps et les suit ; dans ce cas, l’on peut dire que le haut et le bas sont reliés ; mais si une seule partie du corps ne se meut pas avec le reste, il y a désordre et dislocation.

8- Unir l’intérieur et l’extérieur

Le travail du Tai Chi Chuan est un travail de l’énergie spirituelle. C’est pourquoi l’on dit : “ L’énergie spirituelle est le maître, le corps le valet. ” Si l’on peut mettre en branle la force vitale, les mouvements sont spontanés, légers et agiles. L’enchaînement des mouvements suit les principes (d’alternance) de “ plein ” et de “ vide ”, d’ouverture et de fermeture. Quand on parle d’ouverture, il ne s’agit pas uniquement d’ouverture des pieds et des mains, mais aussi de l’ouverture de la pensée et de l’esprit. De même, la fermeture n’est pas seulement une fermeture des pieds et des mains, mais aussi de la pensée et de l’esprit. Si l’intérieur et l’extérieur peuvent être unis en un seul souffle, tout est parfait.

9- Lier les mouvements sans interruption

Dans les arts de combat de l’école exotérique, l’énergie employée est l’énergie grossière du “ ciel postérieur ”. Il y a donc des départs, des arrêts, des enchaînements, des interruptions. C’est au moment précis où l’ancienne force arrive à sa fin et où la nouvelle n’est pas encore née que l’on peut le plus aisément être vaincu. Comme, dans le Tai Chi Chuan, l’on utilise la pensée et non la force musculaire, tout est lié sans interruption du début à la fin ; quand une révolution est terminée, une autre commence, le mouvement circulaire se déroule à l’infini. Il est dit dans le Traité originel : “ La longue boxe est semblable aux flots d’un long fleuve ou de la mer, qui se meuvent continuellement et sans fin ”. Ou encore : “ Faites se mouvoir l’énergie comme un fil de soie que l’on dévide d’un cocon. ” Toutes ces comparaisons suggèrent que tout est relié par un seul souffle.

10- Rechercher le calme au sein du mouvement

Dans les arts martiaux de l’école exotérique, la capacité de sauter est considérée comme très importante, et l’on y utilise jusqu’à épuisement la force musculaire et le souffle. C’est pourquoi, après s’être exercé, le boxeur est toujours haletant. Dans le Tai Chi Chuan, on dirige le mouvement par le calme ; bien que mouvant, l’exécutant reste calme ; c’est pourquoi il est préférable d’exécuter l’enchaînement des mouvements le plus lentement possible. Grâce à la lenteur, la respiration devient longue et profonde, le souffle est concentré dans le champ de cinabre, et le pratiquant n’a naturellement pas les artères battantes. Les adeptes doivent s’appliquer à comprendre cela, mais peu y arrivent. ”


 

 

Yang cheng fu jeune

Yang cheng fu jeune

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Questions et réponses sur le Tai ji quan L'essence du style Yang Weiming Chen

30 Mars 2018 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #Tai chi chuan,Tai ji quan

Questions et réponses sur le Tai ji quan - L'essence du style Yang   Weiming Chen

Questions et réponses sur le Tai ji quan - L'essence du style Yang Weiming Chen

Résumé

Questions et réponses sur le Taiji Quan présente l'étude la plus complète sur les différents aspects de la pratique originelle du style Yang de Taiji quan. Il est l'unique texte à recueillir l'enseignement oral de son fondateur, Yang Chengfu. L'auteur, Chen Weiming, fut l'un des plus brillants disciples de ce grand maître ainsi que l'un des principaux artisans de la diffusion de son école en Chine. Publié à Shanghai en 1929, Questions et réponses sur le Taiji Quan expose les principes énergétiques régissant l'enchaînement ainsi que les poussées des mains, sans négliger certains aspects supérieurs de la pratique relatifs au combat ou à la méditation. Ce texte inédit a été traduit directement du chinois et complété par une étude historique retraçant l'apparition et l'évolution du Taiji Quan. En annexe figurent les listes des enchaînements lents et rapides de l'école Yang ainsi qu'une présentation de la méthode d'enseignement de Chen Weiming. Cet ouvrage constitue une source inépuisable d'informations pour le pratiquant de Taiji Quan et une introduction idéale pour tout néophyte.

Date de parution : 20/06/2005

Editeur : Courrier du Livre (Le)

Collection : trésors des arts martiaux

 

 

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récapitulatif des activités 2012 /2013 Convergences kung-fu wushu

12 Février 2018 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #DEMONSTRATIONS VIDEO

récapitulatif des activités 2012 /2013 du collectif 3singes Convergences kung-fu wushu

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Shou-Bo Cup 2018

11 Février 2018 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #Shou-bo

13 éme Tournoi Shou-bo Shuai-Jiao

13 éme Tournoi Shou-bo Shuai-Jiao

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Stages prévisions

7 Février 2018 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #stage

Stages prévisions

Dates Stages 2018

 

  • 18 février stage d’hiver Duanbin révision baduanjin auto massage

     

  • 15 avril stage de printemps Batons tai ji yangshengong( rouleau black roll)

     

  • 1er juillet stage d’été Tai Chi

     

  • Octobre stage d’automne date et thème à confirmer ultérieurement

     

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Convergences Tai ji quan shoubo à Nanterre 2018

11 Janvier 2018 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #ConvergenceS infoS

1er cours de l'année

1er cours de l'année

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ConvergenceS kung-fu Wushu vous souhaite une bonne année 2018

5 Janvier 2018 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #ConvergenceS infoS

voeux 2018

voeux 2018

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Tai ji quan(Tai chi chuan) Applications martiales et bien être. Leurs ConvergenceS

27 Novembre 2017 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #Tai chi chuan,Tai ji quan

Le tai chi chuan (tai ji quan) est connu aujourd’hui dans le monde entier comme étant un exercice énergétique ou une gymnastique de santé ou de bien-être associée à une philosophie du yin et du yang. La pratique du taichi est, certes, efficace sur le plan du maintien et de l’amélioration de la santé pour des personnes peu sportives, mais elle peut aussi donner une autre dimension à la pratique corporelle de ceux qui sont dynamiques et sportifs.

Originellement, le tai chi chuan (tai ji quan) est un art martial.

Le terme chuan (quan), habituellement traduit par «boxe », en témoigne.

Mais pour pouvoir pratiquer longtemps un art martial et progresser continuellement, il faut que la méthode permette une efficacité sur deux plans : celui du maintien et du renforcement de la santé(le bien-être) et celui des applications martiale le combat. La méthode du taichi chuan comporte cette efficacité sur les deux plans.

Ceux qui cherchent la qualité martiale du taichi chuan trouveront un intérêt croissant dans la pratique, car le tai chi chuan offre la possibilité de surmonter des problèmes qui résultent de l’exercice excessif ou déséquilibré de l’entraînement de sport de combat ou martial traditionnel .

Ceux qui sont peu intéressés dans l’aspect martial du taichi chuan et qui ont pour objectif a recherche du bien-être et de la santé trouveront un appui concret pour leur exercice de la forme de l’enchaînement.

La difficulté de l’enchaînement :
Posture, gestes, etc. Constitue une des difficultés de l’apprentissage du taichi chuan. Pour apprendre le taichi chuan, un grand nombre de personnes ont l’impression de bouger sans avoir de référence solide. Il est difficile de mémoriser des gestes sans s’appuyer sur des références concrètes. En prenant connaissance du sens originel d’un geste, celui du combat, nous pouvons acquérir des repères précis et concrets, ce qui nous permettra d’exécuter un mouvement avec plus de précision.
Depuis presque cent ans, une multitude de professeurs à travers le monde entier apprennent et perfectionnent le taïjiquan. À l’aube du XXIe siècle, le taïjiquan est maintenant devenu un arbre avec de multiples ramifications.

LE PREMIER SYMPOSIUM INTERNATIONAL DES MAÎTRES DE TAÏ JI QUAN

Le riche diversité du taïjiquan a été officiellement reconnue en 2006 par environ 70 des plus connus représentants des styles de taïjiquan les plus célèbres dans le monde qui se sont réunis lors du premier Symposium international des maîtres de taïjiquan.
Le compte rendu du Symposium se trouve en détail dans le livre Accomplishments of Modern Tai Ji Masters (en chinois et en anglais), publié par Chinese Traditional Kung-fu Magazine, The Line of Chinese Traditional Kung-fu Culture, Tai Ji Quan Kung-fu Series, 2007
La rencontre qui a eu lieu dans la ville de Ma’anshan en Chine s’est conclue par une déclaration solennelle de la majorité des participants, la Déclaration de Ma’anshan, qui identifie les trois plus grandes tendances du taïjiquan à travers le monde et qui invite à la reconnaissance de cette réalité et au respect mutuel.

LA DÉCLARATION DE MA’ANSHAN

Aujourd’hui, nous les descendants et les experts représentant toutes les écoles de taïjiquan à la fois en Chine et à l’étranger nous sommes réunis dans la ville de Ma’anshan, province de l’Anhui, en Chine, pour assister au troisième Séminaire chinois des maîtres de taïjiquan de Chine et au premier Symposium international des maîtres de taïjiquan.
Nous sommes tous des propagateurs enthousiastes de la culture traditionnelle chinoise et du taïjiquan.

Le taïjiquan est une combinaison du kung-fu wushu traditionnel et du wushu sportif. Le taïjiquan peut inclure autant la compétition que la préservation de la santé. Les pratiquants du taïjiquan sont aujourd’hui disséminés sur toute la planète.

Au cours de son développement historique qui a duré près de 100 ans, le taïjiquan s’est façonné en plusieurs grandes formulations dont voici les trois principales :

  1. le taïjiquan kung-fu wushu traditionnel [neija de la voie interne ou qigong et waija de la voie externe ou combat]
  2. le taïjiquan pour le maintien de la santé (le taïjiquan gymnastique)
  3. le taïjiquan sportif pour la compétition.

Nous reconnaissons officiellement l’authenticité de ses trois grandes formulations et leur perfectionnement spécifique. Nous souhaitons un enrichissement mutuel dont nous pourrons tous bénéficier, grâce à la communication et à la coopération.

Nous reconnaissons respectueusement les efforts de tous les héritiers du taïjiquan pour leurs contributions à son développement. Nous croyons que la pratique du taïjiquan sera un atout précieux pour l’humanité du futur, que les pratiquants du taïjiquan se comporteront avec tolérance et respect mutuels et qu’ils favoriseront ainsi une meilleure communication. Ensemble, ils pourront unir leurs efforts pour la promotion et le développement du taïjiquan, fleuron de la culture chinoise.


Le 18 mai 2006.
De nombreux experts ne purent se rendre au symposium mais ont exprimé leur intérêt et leurs félicitations par lettre ou par télégramme. Ceux-ci incluent Liu Jishun des États-Unis, Xu Yizhong de Taiwan, ainsi que Feng Zhiqiang, Yang Zhen Duo, Chen Xiaoxing, Wang Xian, Lin Ziqing, Jin Renlin, Jia Pu, et Hao Pingshun de Chine.

Voici les principaux représentants signataires de la déclaration de Ma’anshan. Ils sont classés selon les écoles auxquelles ils appartiennent :
L’école Fu Nei (le style Yang impérial): Xiao Tieseng et Lu Shuhui.
L’école Li Ruidong: Li Lianke.
L’école Chen Fake
1. La branche Hong Junsheng: Jiang Jiajun, Xu Guicheng, He Shugan et Peter Wu.
Les «grands-apprentis» de Hong: Wang Zhi, Wu Huaqiang, Zhao Haixiao, Feng Taifu, Lu Shibin, Xie Jianjun, Yao Shiyu etc.
2. La branche Li Jingwu: Li Shujune et Shan Ying.
3. La branche Chen Zhaopi et Chen Zhaokui: Ma Hong, Chen Zhiqiang, Wang Zhanjun, Wan Mingqun.
L’école Hao Weizhen: Wu Wen-Han.
Les «grands-apprentis» de Hao: Niu Zhongming, Liu Tianyong, Wang Xiaolun, Gao Liancheng, Chang Jun, etc.
L’école Yang Cheng-Fu
1. La branche Li Yaxuan: Chen Longxiang et Li Mindi.
2. La branche Fu Zhong Wen: Fu Sheng-Yuan, Tang Shoujin, Gu Shuping, Mo Rudong et James Fu.
3. La branche Yang Sau Chung: Ma Wai Woon.
4. La branche Don Yingjie: Dong Moli et See-ming Chan.
5. La branche Chu Guiting: Chu Yucheng et Yan Chengde.
6. La branche Ye Da-Mi: He Jihong.
7. La branche Cheng Man Ching: Candra Wibawa et Ngo Kah Keat.
8. La branche Dong Shizuo: Wang Peichang.
L’école Yang Ban Hou: Jia Anshu.
L’école Wang Peisheng: Gao Zhuangfei, Zhang Quanliang et Meng Xiangxi.
L’école Wang Qihe: Li Jianfang, Liu Shunzeng et Liu Yunting.

LA PORTÉE DE LA DÉCLARATION DE MA’ANSHAN
La déclaration de Ma’anshan est maintenant vieille de 9 ans et depuis, elle n’a été que peu rapportée en Occident. La réalité actuelle du taïjiquan demande un certain recul et exige de reconsidérer les idées généralement admises à son sujet. «Le vrai et unique» taïjiquan n’est l’apanage de personne. L’existence de ces différents systèmes de taïjiquan axés soit sur le combat, le giqong, la gymnastique ou le sport est peu connue. D’ailleurs, cette première reconnaissance officielle de la réalité des différentes formulations du taïjiquan permet de clarifier et de nuancer certains aspects encore mal compris du taïjiquan.

On peut dire qu’il y a «un seul taïjiquan» quand on fait référence à ses racines anciennes, à certains principes qui l’animent et à ses apparences extérieures. Cependant il ne faut pas perdre de vue que cette appellation recouvre plusieurs démarches distinctes qui s'imbriquent et se superposent.
Le taïjiquan est une combinaison de la tradition et de modernité culturelle chinoise. Le taïjiquan peut inclure autant la compétition,la self défense, la préservation de la santé,l'aspect philosophique,artistique….etc.

(source Kenji Tokitsu , GILLES THIBAULT) compilé par Jean-Jacques (San hou) pour Convergences KFW

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