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Convergences Kung-Fu Wushu

gros plan

Quelques conseils pour débuter les arts martiaux suite

1 Septembre 2015 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #Gros plan

Premiers pas dans les arts martiaux :

étirements des jambes

étirements des jambes

Nous devons donc la vérité aux débutants ou plutôt les 7 vérités suivantes :

 

1 – Quelle que soit la discipline choisie, l’apprentissage sera long et difficile. Rien ne s’obtient sans travail, sans effort et sans patience. Ce qui est vrai pour le sprinteur, le tennisman, le lutteur, le musicien, le chanteur ou le pâtissier, est également vrai pour le pratiquant de Kung Fu. Il faut donc être sûre de sa motivation, car celle-ci sera soumise à rude épreuve !

2 – Vous devez choisir une discipline qui vous plait car il est plus facile de fournir des efforts et de consacrer du temps à quelque chose que l’on aime et qui vous éclate. Il ne faut donc pas hésiter à bien se renseigner et aller voir des écoles différentes avant d’en choisir une, car le meilleur moyen de choisir, c’est encore de tester ! Posez vous ensuite les bonnes questions : Avez vous envie de revenir régulièrement ? Les horaires sont-ils compatibles avec votre planning ? N’oubliez pas que la notion de plaisir est souvent essentielle pour conserver sa motivation jusqu’au bout !

3 – On dit souvent dans l’étude des arts martiaux que « de tous les pas, le plus important de tous est le premier », et ce « premier pas » consiste à bien choisir son professeur car c’est précisément lui qui va vous communiquer sa passion, ses connaissances de la discipline et surtout vous faire progresser. N’oubliez pas que vous envisagez d’y consacrer quelques années de votre vie ! Mieux vaut donc avoir un professeur qui vous convienne. Il n’y a pas de bonnes ou mauvaises disciplines. Toutes les disciplines martiales sont passionnantes et efficaces. Il y a simplement de bons ou mauvais professeurs. De même, ce ne sont pas les élèves qui sont généralement mauvais, mais leurs professeurs. Le professeur qui ne s’intéresse qu’à certains élèves et qui laisse les autres sur le bord de la route est à proscrire. On peut être un grand combattant/champion et être un très mauvais professeur (l’inverse est aussi vrai). Au delà de la connaissance de sa discipline, le bon professeur est celui qui s’intéressera à tous et qui fera progresser tout le monde sans exception ! Il devra avec chacun faire preuve de patience et s’adapter à la progression de chaque élève.

4 – Essayez de bien définir ce que vous êtes venu chercher en pratiquant le Kung Fu. Pour cela vous devez vous poser certaines questions, même si les réponses ne sont pas toujours évidentes ou qu’elles évoluent avec le temps : Venez vous pour apprendre à vous défendre ? Pour faire du sport ? Vous défouler et transpirer ? Pour être bien dans votre peau, vous maintenir en forme, améliorer votre santé et votre état physique ? Pour apprendre à mieux vous connaître ? Pour acquérir une compétence précise pour votre métier ? Pour avoir une activité près de chez vous ? Pour rencontrer des gens d’un autre milieu que le votre ? Pour découvrir une autre façon de penser et de vivre ? Découvrir une culture ?… Il y a de bien nombreuses raisons de pratiquer un art martial et y répondre vous aidera à trouver petit à petit votre voie, à vous épanouir et à progresser.

5 – Fixez vous de petits objectifs, quitte à les revoir régulièrement en fonction de votre progression et du temps que vous consacrerez à votre pratique du Kung Fu. Ne recherchez pas la performance à tout prix. Acceptez de faire de petits pas, car vouloir aller trop vite est le meilleur moyen d’être déçu et de perdre sa motivation. Encore une fois, ne craignez pas d’avancer lentement, tant que vous avancez, vous êtes sur la bonne voie ! N’hésitez pas à en parler avec votre professeur, car « celui qui aime demander conseil grandira ».

6 – N’hésitez pas à poser des questions à votre professeur qui est là pour vous écouter et vous aider. Le Maître dit à ce sujet : « celui qui pose une question est bête 5 minutes, celui qui n’en pose pas l’est toute sa vie ».

7 – Entrainez vous sérieusement et régulièrement. Sérieusement signifie d’être attentif à chaque détail et d’essayer de reproduire ce que montre le professeur dans ses moindres détails. Régulièrement signifie au moins 2 fois par semaine. Si vous ne pouvez pas venir autant, vous devez pratiquer chez vous : n’hésitez pas à faire régulièrement les formes que vous connaissez, travaillez vos déplacements et vos techniques seul, améliorez votre condition physique (cardio, renforcement musculaire, assouplissement…), tout ce que vous pourrez faire (15′ par ci, 30′ par là) vous aidera dans votre progression.

Voilà, en respectant ce mode d’emploi, vous mettez toutes vos chances de votre côté pour ne pas être déçu, ni abandonner au bout de quelques mois et vous découvrir des qualités insoupçonnées. Vos efforts seront récompensés et votre plaisir rapidement décuplé.

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Quelques conseils pour débuter les arts martiaux

31 Août 2015 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #Gros plan

Tai chi chuan (Tai ji quan),Shoubo shuai-jiao,self défense, …

 

Débutant, mode d’emploi :

Il est toujours difficile de commencer un apprentissage dans un domaine nouveau, et il n’est pas rare dans les cours de voir un débutant se crisper, s’énerver de ne pas y arriver, se remettre en question, douter de tout et de lui même… bref, d’avoir brusquement envie de tout arrêter après un cours ou de penser que le kung-fu n’est pas fait pour lui. Lorsqu’il débute, l’élève est effectivement confronté à quantité d’information, de concepts nouveaux et de techniques pas toujours naturelles pour qui découvre les arts martiaux chinois.

Il vous faudra pourtant traverser cette première phase ingrate de l’initiation, plus ou moins longue (3 à 6 mois selon le nombre d’entraînement), où l’on se sent « gauche », parfois « bête », voire « nul » de ne pas arriver à faire ce que montre le professeur, où l’on est confronté à la maladresse de son corps, sans parler de la tête où tout s’embrouille et où les connections synaptiques ne semblent plus s’établir…

Tout le monde est passé par ce stade de doute permanent, y compris vos professeurs à leurs débuts. Ne croyez pas à l’élève surdoué qui arrive à tout bien faire du premier coup. Certes, nous ne sommes pas tous égaux et tout le monde n’est pas Usain Bolt, Roger Federer ou Teddy Riner. Certes, nous n’avançons pas tous à la même vitesse, et nous n’irons pas tous aussi loin les uns que les autres. Mais nous sommes tous confrontés aux mêmes difficultés, et le temps est un des paramètres essentiels pour surmonter ces difficultés. Dites vous que travail et patience sont toujours récompensés. C’est pourquoi le Maître dit à l’élève : « ne crains pas d’avancer lentement, crains seulement de t’arrêter ».

Si vous voyez votre voisin qui a débuté en même temps que vous mieux réussir et progresser plus vite que vous, dites vous qu’il a certainement dû pratiquer auparavant d’autres disciplines martiales ou qu’il est un grand sportif, ou qu’il s’entraîne deux fois plus souvent que vous. Mais il y a certainement une explication qui repose sur de bonnes raisons objectives. Si vous trouvez que vous galérez, soyez patient, revoyez peut être vos ambitions et vos objectifs à la baisse, mais il n’y a aucune raison que vous ne progressiez pas et que vous ne parveniez pas à un résultat probant si vous vous entraînez sérieusement et régulièrement, deux conditions essentielles au succès dans le Wushu.

C’est justement au cours de cette première phase d’initiation (3 à 6 mois) que les écoles connaissent le plus grand nombre d’abandon, parce que les élèves n’acceptent pas les efforts à fournir, et n’ont pas la patience qu’il faut avoir pour parvenir à un résultat aussi modeste soit-il. Le Maître dit pourtant : « A qui sait attendre, le temps ouvre ses portes ».

jeux de la baguette

jeux de la baguette

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Tai chi chuan (Tai ji quan) 10 / 8 Forme Yang TUTORIEL

30 Juillet 2015 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #Gros plan

Yang TAI CHI forme en 10 The performer is Gao Jiamin

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Jeux Traditionnel Taichi chuan (tai ji quan) suite

22 Juillet 2015 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #Gros plan

jeux de la balance

jeux de la balance

jeux de la balance

jeux de la balance

jeux de la balance sur velo

jeux de la balance sur velo

old man balance game

old man balance game

old man balance game taichi postures

old man balance game taichi postures

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Jeu Traditionnel Taichi chuan (tai ji quan)

10 Juillet 2015 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #Gros plan

Zao Jincai jeux de la balance

Zao Jincai jeux de la balance

M. ZHAO Jincai gentleman de 75 années et vie dans la ville de Yinchuan dans le nord-ouest de la Chine .

Chaque matin , Zhao monte sur son vélo avec un de long bâton sur la tête et son petit déjeuner à une extrémité du bâton . Cette étrange jeux à attiré l'attention des bado . Certaines personnes étaient curieux et lui ont demandé pourquoi il fait cela , le vieil homme se redressa et de mis le vélo de côté , donnant à chacun une performance de sont art . " Je joue à ce jeu de l'équilibrage de bâton depuis cinq ans et je l'apprécie beaucoup" dit le vie
il homme .

jeux de la balance 2

jeux de la balance 2

jeux de la balance 3

jeux de la balance 3

jeux de la balance 4

jeux de la balance 4

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Tai chi chuan (Tai ji quan) Détente (Song)

25 Juin 2015 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #Gros plan

Tai chi chuan (Tai ji quan) Détente (Song)1

Tai chi chuan (Tai ji quan) Détente (Song)1

Tai chi chuan (Tai ji quan) Détente (Song) 2

Tai chi chuan (Tai ji quan) Détente (Song) 2

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Initiation escrime chinoise

26 Mars 2015 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #Gros plan

escrime chinoise au gymnase voltaire

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Le Tai ji Quan : Un amalgame , art de sante ou art martial

18 Mars 2015 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #Gros plan

Le Tai ji Quan : Un amalgame , art de sante ou art martial

Tai ji Quan une branche de la médecine traditionnelle chinoise ?

Source : www.icilachine.com

Si le nom est mondialement connu aujourd’hui, la nature même de la discipline reste mystérieuses . Le Taiji Quan, ou Boxe du Faîte Suprême, est réputé pour ses bienfaits sur la santé. Cela suffit-il à en faire une branche de la médecine traditionnelle chinoise ?

 

Lexique :

 

气工 qìgōng : le Qi Gong

太极拳 tài jí quán : la Boxe Taiji .

Des apports certains pour la santé physique et mentale

 

La médecine traditionnelle chinoise est un système relativement vaste que l’on divise souvent en cinq branches : l’acupuncture, la pharmacopée (herbes médicinales), les massages (tuina ou anmo), la diététique et le travail énergétique.

Dans ce dernier se trouve incontestablement le Qi Gong, et y est souvent classé également le Taiji Quan. Cette classification est-elle correcte ?

A vrai dire, les vertus pour la santé du Taiji Quan sont incontestables : la science s’est penchée sur la question et atteste avec certitude des bienfaits de cette discipline pour les personnes âgées. Pour de nombreux autres domaines, les études ne sont pas assez nombreuses ni approfondies pour être incontestables, mais les apports de l’art martial chinois semblent exister en ce qui concerne l’amélioration du sommeil ainsi que de la santé physique et mentale.

Un amalgame Qi Gong -Taiji Quan

Cela suffit-il à faire de la Boxe du Faîte Suprême (la traduction littérale de son nom) une branche de la médecine traditionnelle chinoise ? Rien n’est moins sûr, et une telle idée semble venir d’un amalgame fait entre ce système de combat et le Qi Gong, et par extension l’ensemble des arts énergétiques.

Une différence de taille existe, mais est souvent oubliée : le Qi Gong n’est pas un art martial mais un art énergétique. Son nom est assez clair : Qi signigie «énergie» (on peut comprendre ici bioénergie), et Gong signifie «travail».

Le Qi Gong est donc un travail sur le Qi, la bioénergie si l’on veut reprendre un concept occidental. Aucun coup de poing, aucun coup de pied n’y sont enseignés, pas plus que les saisies et clés. Le Taiji Quan part quant à lui d’un objectif tout autre : il s’agit d’un art martial à part entière, très clair d’après son nom : Taiji signifie le «Faît Suprême» (on peut entendre par là le terme «divin»), alors que Quan signifie «poing» ou «boxe».

Il s’agirait donc du niveau de boxe le plus élevé des arts martiaux chinois. De nombreux experts chinois de nos jours le présente d’ailleurs comme la seconde étape menant à la maîtrise totale en combat. La dernière marche de cette évolution vers la perfection n’est autre que le sans forme, la connaissance ultime qui dépasse toutes les limites.

Pourquoi le Taiji Quan est-il perçu comme une thérapie ?

En Occident, mais aussi dans les cercles les moins initiés en Chine, le Taiji Quan est donc assimilé à une pratique physique de développement énergétique, voire à une simple gymnastique pour les personnes âgées. Les raisons d’une telle méprise sont variées.

Dans l’Empire du milieu, l’épisode de la Révolution Culturelle a beaucoup joué dans ce sens. Nombre d’arts martiaux traditionnels ont été mis au banc de la société et jugés illégaux. La plupart des maîtres ont alors dû s’exiler à Taïwan, Hongkong ou dans d’autres pays pour échapper à la répression.

Lors de la réhabilitation des arts martiaux (wushu), deux formes principales se sont développées : le wushu moderne, une version nouvelle plus acrobatique et sportive des arts du combat, et le Taiji Quan. Ce dernier a été «réduit» à une forme de gymnastique douce à l’attention des personnes âgées.

Une multitude de boxes Taiji

C’est cette forme de Taiji Quan qui a pris son essor en Occident ces dernières décennies, faisant passer l’art pour une thérapie plus qu’une science du combat. Or, cette nouvelle pratique n’est dans les faits qu’une bien mince partie du trésor national chinois qu’est la Boxe du Faîte Suprême.

A l’origine, le Taiji Quan représente non pas une discipline mais un ensemble d’arts de combat, dont le style de plus ancien est l’école Chen. Si la tendance commence à s’inverser ces dernières années, c’est souvent la version de l’école Yang, antérieure à Chen, qui est perçue comme LE Taiji Quan par excellence. Logique pourrait-on dire, puisqu’il s’agissait de la forme enseignée aux masses dans les écoles, universités et parcs de toute la Chine.

Cette variante Yang, aux mouvements plus lents et amples, convient parfaitement aux personnes qui recherchent une pratique physique douce et sans risque. Mais du côté des pratiquants les plus traditionnels, cette assimilation du Taiji Quan à un seul style, qui plus est détourné de ses objectifs originels, sonne comme une injustice.

Un art martial avant tout

En Chine, où la pratique purement martiale commence à refaire surface, les maîtres sont dorénavants clairs sur le sujet : les différentes formes de Taiji Quan ne se limitent pas à une succession de mouvements lents à l’attention des aînées.

Le Taiji Quan, qu’il soit du style Chen, Yang, Wu ou autre, est avant tout un art de combat hautement élaboré et aux techniques redoutables. Une démonstration du style Chen, alternant mouvements lents et explosifs, ainsi que l’explication des applications en situation réelle, suffiraient à prouver cette idée.

Vouloir classer le Taiji Quan comme une technique physique de la médecine traditionnelle reviendrait finalement à y incorporer tous les arts martiaux, pas seulement chinois.

Car à niveau élevé, chaque pratiquant, qu’il soit karatéka, taekwondoiste ou expert en Taiji Quan, s’intéresse à la pratique énergétique, au développement de ce que les Chinois nomment le Qi, les Japonais le Ki, ou les Indiens le prana.

L’assimilation du Qi Gong et du Taiji Quan est finalement une erreur de la part des non initiés : le Taiji Quan emprunte des techniques de Qi Gong, ou s’en inspire, pour permettre aux pratiquants d’atteindre des niveaux plus élevés. Un procédé qui existe dans l’ensemble du monde des arts martiaux.

Mais en aucun cas le Taiji Quan n’est une part intégrante de la médecine traditionnelle chinoise. Il s’agit d’un art martial, d’un système de combat, comme le caractère Quan dans son nom l’indique clairement.

 

Source : www.icilachine.com

 

 

 

 

 

 

 

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Tai ji quan

19 Février 2015 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #Gros plan

Maitre Yuan Zumou

Le Maître Yuan Zumou

Le Taiji quan signifie (boxe du faite suprême) improprement appelé (gymnastique chinoise) son créateur serait Zhang San Feng, prêtre taoïste de la dynastie des song (969-1279) .Mais en fait il aurait été inventé par Chen Wangting , chef héréditaire d’une milice régionale .Qui sera à l’origine de la grande tradition martiale de sa famille, dont le secret sera gardé jusqu’au 19ème siècle. C’est finalement un descendant de Chen Wangting qui offrira son précieux savoir à Yang Luchang.Celui-ci devint un grand expert et diffusa l’art autour de lui, pour finalement enseigner une version simplifiée à la cour impériale. C’est cette version gymnique d’un ancien art de la guerre qui se répandra dans le monde.

Les différentes écoles de Taijiquan

L’école de Chen. La plus ancienne de toutes. Elle allie la force à la souplesse, la lenteur à la rapidité, donne la préférence aux mouvements giratoires et enveloppants et demande des efforts physiques importants.

L’école de Yang, la plus répandue. Elle se caractérise par le dégagé et l’élégance de ses postures, l’homogénéité et la souplesse de ses mouvements souvent fort amples et décrivant des arcs.

L’école de Wu . Elle se caractérise par la délicatesse et la souplesse, la précision et la lenteur, la forme en arc et l’ampleur rationnelle des mouvements.

L’école de Hao . Elle se caractérise par la simplicité et la concision. Les mouvements peu amples, souples et lents.

L’école de Sun . Elle se caractérise par l’ingéniosité et l’adresse dans les mouvements.

 

 

 

 

Source shoubo men

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Tai ji quan,tai-chi, taï chi, taichi et tai-chi-chuan.

28 Septembre 2014 , Rédigé par Association Convergences Publié dans #Gros plan

Tai ji quan,tai-chi, taï chi, taichi et tai-chi-chuan.

En 1958, lors de l’instauration du pinyin (le système de transcription phonétique de la langue chinoise), c’est la graphie Tai Ji Quan qui a été adoptée. Depuis, plusieurs autres ont été approuvées, par exemple tai-chi, taï chi, taichi et tai-chi-chuan.

L’expression Tai Ji Quan se compose de 3 idéogrammes, dont les deux premiers signifient littéralement « faîte suprême » et incluent à la fois des notions d’équilibre dynamique et de but à atteindre. Le troisième caractère, Quan, signifie « poing » ou « combat à mains nues », et incorpore la dimension des arts martiaux. Les 3 caractères peuvent donc se traduire par combat suprême avec un adversaire ou avec soi-même.

Traduction des sinogrammes 太極拳 (Tài Jí Quán)

Tai-chi-chuan est l'appellation que l'on trouve dans le Larousse

Tàijí quán, Tài jí quán ou Tai ji quan est la transcription Pinyin

T'ai Chi Ch'uan est la transcription Wade-Giles

Tài (son descendant) se traduit par trop ou très. Ce symbole est composé du mot "grand" (大 dà) avec une cédille, comme pour dire c'est extrême ou suprême.

(son montant) se traduit par sommet, extrémité ou pôle. A gauche l'idéogramme 木 mù (bois) est accompagné de la bouche (口 kǒu) au centre. Puis nous avons le symbole de l'homme entre terre et ciel qui est marqué par l'idéogramme "fils" (子 zǐ). Et tout à droite le mot action ou agir apparaît pour clôturer le rébus.

peut être simplifié, mais sa signification ne change pas.

太極 Tàijí signifie la poutre faîtière qui est le symbole de l'unification des deux pôles. Cette image correspond à la clé de voûte des églises romanes. C'est le symbole de la puissance créatrice et infinie. Dans le Feng shui le taiji est représenté par une spirale.

Le Tai ji provient du Wu ji (vide) est il est le concept fondateur du tai ji tu (yin yang)

Quán veut dire poing ou boxe.

太極拳 (Tài Jí Quán) est l'idée de la pratique martiale poussée jusqu'à la perfection. Le but étant de se préserver et de se renforcer pour augmenter la protection, la longévité et l'harmonie.

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